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Quel philatéliste n’a pas rêvé de trouver par hasard une grande rareté ? Si des timbres comme les Inverted Jenny ont été recherchés par les philatélistes dès leur émission, ce n’est pas le cas des 5 pièces que l’on va citer ici. Ce sont au contraire des raretés qui ont été découvertes totalement par hasard. Souvent, ce ne sont d’ailleurs pas ceux qui ont découvert ces pièces qui en ont tiré le plus grand bénéfice. Mais grâce à eux, ces timbres ou

n°7a, Cérès 1849, 1Fr vermillon vif, oblitéré grille sans fin - timbre avec 4 marges, filet éffleuré - légère restauration au verso - TB D'ASPECT. Certificat d'authenticité signé par l'expert ROUMET + Certificat S.GAUTRE (La Postale).

Une lettre affranchie d’un « Post Office » rouge orange de 1847, mise à prix 4 millions d’euros, est partie à 8,1 millions d’euros chez Christoph Gärtner, en Allemagne. La lettre comportant au verso un cachet noir « MAURITIUS POST OFFICE/SE 27 1847 ». Cette lettre avait été négociée au prix de 3 millions de dollars en 2006 chez David Feldman (Suisse).

« Three Treasures - Collected by Stuart Weitzman », tel était le nom de la vente aux enchères des plus grands trésors de la philatélie et de la numismatique organisée hier chez Sotheby's. Sur les trois records espérés, deux ont été atteints.

L’histoire d’un timbre unique, le One-Cent Magenta, émis en 1856 dans l'ex-Guyane britannique pour pallier une pénurie de timbres-poste anglais. Le seul exemplaire connu sera vendu une première fois 6 shillings à un collectionneur en 1873. Il sera ensuite revendu plusieurs fois et, faute d’en découvrir un deuxième, toujours avec une confortable plus-value. Sa valeur est aujourd’hui estimée à 9 millions d’euros !